Ouvre-moi ton coeur que j’en vois la profondeur ! La complaisance et la délicatesse se font rares.
Mais la gentillesse de coeur en chacun de nous est tapie là.
Elle peut se montrer patiente, elle s’accorde d’attendre son bon moment
Parfois même, elle se retire longuement et observe jusqu’au moment où elle trouve de l’intérêt.
Attention, si je la garde, je me restreins.
Si je la mesure, je cerne la taille de ma capacité au dévouement.
Alors appelle-moi, si tu es dans le besoin.
Quand tu la réclames, elle vient avec force et soutien.
Même en silence, elle apparaît et surtout si tu te sens démuni, elle te réchauffera.
Ode à la bienveillance : si je l’oublie, aucun mot de gratitude ne me parviendra.
Comment être comblé de prévenance ou entouré de douces pensées alors ?
Parfois le coeur rempli de gentillesse s’est fané face à la méchanceté.
Apprends à comparer avec et sans ma présence chaleureuse ce que tu deviens.
La gentillesse recouvre l’incompréhension et la colère tenaces.
Elle permet de se redonner une chance et de retrouver de la compassion.
Ressentons au fond de nos coeurs ce que gentillesse signifie : c’est l’aimable et tendre attention donnée en considération de l’autre.
Gentillesse de coeur se relie avec noblesse de coeur. Ne la gâchons plus !
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